Marion Guichard Psychomotricienne

à Miribel (01)

Psychomotricienne spécialisée dans l’accompagnement des
0-6 ans et leurs familles

marion guichard psychomotricienne avec un bébé

Bilan psychomoteur

Etat des lieux des difficultés et capacités de la personne
Sur prescription médicale

Séance de psychomotricité

Rencontres régulières pour accompagner les difficultés détectées lors du bilan
Sur prescription médicale

Consultation ponctuelle

Intervention précoce, périnatalité et parentalité
Sans prescription médicale

Atelier thématique

Pour les parents et leurs jeunes enfants, les structures de professionnel(le)s de la petite enfance (RAM, crèches…)
Sans prescription médicale

marion guichard psychomotricienne avec un bébé

Au service du patient

Au fil des ans, j’ai travaillé auprès de populations variées : enfants en difficulté dans leur développement, personnes vulnérables, adolescentes placées, enfants et adultes en situation de handicap…

Mes six années d’exercice en CAMSP (enfants de 0 à 6 ans) et ma double maternité me rendent particulièrement sensible aux périodes de grossesse, post-partum et toute petite enfance. La prévention, le dépistage et l’intervention précoce ainsi que le partage d’informations revêtent une grande importance dans ma pratique.

A tout âge, des difficultés peuvent nécessiter un accompagnement psychomoteur. Celui-ci se met en place à l’issue d’un bilan réalisé sur prescription médicale.

La psychomotricité : qu’est-ce que c’est ?

La psychomotricité est un mot désignant 2 concepts : un fonctionnement de l’individu ET une profession paramédicale réglementée.

Pour qui ?

Enfants 0-6 ans & personnes de tout âge

Avec prescription médicale

Jeunes parents et leurs bébés

Possibilité de consultation ponctuelle sans prescription

3 enfants qui jouent dans une crèche, psychomotricité

Structures de la petite enfance

Par exemple crèches, RAM, école maternelles…
Sans prescription médicale

Témoignages

Questions fréquentes

La psychomotricité n’est pas remboursée par la sécurité sociale. Il est en revanche possible que votre mutuelle prenne en charge une partie des frais.

Les accompagnements psychomoteurs sont fréquents et bien connus auprès des enfants. Cependant, selon le contexte, les interventions peuvent être utiles à tous les âges de la vie : bébés, enfants, adolescents, adultes, seniors…  Prématurité, trouble ou difficultés de développement, difficultés de gestion des émotions, trouble neurologique, situation de handicap moteur, cognitif, sensoriel, et/ou psychique… Il n’y a pas de règles ni de restrictions d’âge !

Les pleurs constituant son principal moyen d’exprimer un mal-être, il est normal que votre bébé pleure lorsqu’un de ses besoins n’est pas assouvi : manger, dormir, être changé, rassuré
ou câliné, être au calme… De plus, il est fréquent qu’en fin de journée, un nourrisson pleure un long moment en réaction à un trop-plein de stimulations accumulées pendant la journée : ce sont les fameux « pleurs de décharge ». Le seuil de tolérance d’un bébé étant bien plus bas que celui d’un adulte, une journée banale pour vous peut représenter une grande source de stimulations pour lui.
NB : Néanmoins, si votre bébé est rarement apaisé même lorsque ses besoins physiologiques sont assouvis ; s’il présente souvent des pleurs inconsolables ; si enfin, votre intuition de parent vous dit qu’il y a quelque chose d’anormal, n’hésitez pas à consulter pour rechercher une cause médicale (RGO interne, torticolis congénital, dyplasie de hanche…)

Un décalage entre votre rythme et celui de votre bébé est tout à fait normal. A la naissance, un bébé peut normalement dormir 2h à 4h d’affilée, cette durée augmentant progressivement. La majorité des bébés sont physiologiquement capables de dormir des nuits ininterrompues entre 4 et 8 mois.
Je fais partie des personnes qui pensent que la clé d’un sommeil de qualité est l’endormissement autonome, pouvant nécessiter pour certains bébés/enfants un apprentissage et un accompagnement personnalisé.
NB : Si votre bébé dort vraiment peu et/ou ne supporte pas la position allongée et/ou pleure de manière inconsolable, il se peut qu’un problème médical impacte son sommeil : douleurs, RGO interne… Dans ces cas-là, il est indispensable de consulter un médecin sensibilisé à cette thématique avant de travailler l’endormissement autonome.

Les échelles de développement psychomoteur sont là pour donner une idée de l’âge approximatif auquel la majorité des bébés franchissent une étape : les différences entre deux enfants sont normales. Un enfant de 6 mois qui ne sait pas se mettre assis n’a pas forcément de retard (même si le fils de la voisine du même âge tient « déjà » assis !). Tant que votre bébé bouge et que sa motricité évolue, le plus probable est qu’il avance à son rythme en fonction de ses « priorités ». Par exemple, s’il est en train d’explorer les sons qu’il peut faire, il sera probablement moins disponible pour les apprentissages moteurs…

NB : Si votre bébé au-delà de 4 mois reste statique lorsque vous l’allongez sur le dos ou si vous constatez un gros décalage avec plusieurs enfants du même âge, il peut être utile de réaliser un bilan auprès d’un(e) psychomotricien(ne) ou kinésithérapeute pédiatrique.

L’entourage est souvent tenté d’installer bébé en position assise pour lui faire « plaisir » et « l’entraîner ». Pourtant, tant que bébé ne se met pas assis seul, sa motricité et sa musculature ne sont pas suffisamment développées pour tenir cette position ni en sortir.
Installez plutôt bébé couché sur le dos, sur une surface ferme : c’est à partir de cette position qu’il va développer sa motricité. Progressivement, et avec des étapes intermédiaires (rotations tête/buste/bassin, saisie des pieds, retournements, etc…) bébé saura se mettre lui-même assis… et sortir seul de cette position !

NB : Outre la position sur le dos, il est important d’installer bébé sur le ventre quelques minutes par jour (par exemple au moment d’attacher les boutons derrière son pyjama) pour lui donner l’occasion de travailler d’autre appuis et chaines musculaires.

La marche est une étape souvent très attendue par l’entourage d’un bébé, qui a envie de « l’aider » par diverses interventions. En réalité, et comme pour la position assise, le meilleur moyen d’aider votre bébé est… de le laisser faire lui-même, dans un environnement sécurisant, sous votre regard bienveillant et vos encouragements! Avant d’être prêt à marcher, bébé a besoin d’explorer ses appuis et sa motricité au sol, puis d’apprendre à se redresser et à revenir au sol de manière autonome. Explorer et maîtriser les (nombreuses) positions intermédiaires amenant à la station debout est indispensable pour acquérir une marche harmonieuse. Nul besoin de le placer en position verticale ou de lui tenir les mains vers le haut pour qu’il marche avant qu’il sache le faire tout seul.

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